DERNIÈRES NOUVELLES DU FRONT
Mon roman "PORTE-MOI" a obtenu le Prix Alterpublishing du roman 2014. Pas le Goncourt... c'est entendu ! Mais assez gratifiant pour me combler d'aise et m'encourager à continuer. Ce prix obtenu pour un roman vient en complément de ceux déjà récoltés avec un certain nombre de nouvelles sur le plan national... et international. Ces récompenses offertes par mes pairs et par des professionnels me confortent dans l'idée que mes écrits peuvent séduire une belle palette de lecteurs... pour peu que nos routes parviennent à se croiser.
Du côté des romans
Porte-moi
Une mare et des grenouilles. Quoi de plus tentant pour un enfant de douze ans que ses parents ont laissé seul le temps d'une matinée ? Rien, si ce n'est le regret que tout ce qui va survenir en raison de cette désobéissance ne puisse être annihilé. Ce battement d'ailes de papillon va générer toute une série d'évènements et la remise en cause de vérités qui paraissaient immuables.
Bertrand, sur le fil du rasoir de cette tourmente sentimentale, va devoir composer avec toutes les femmes qui l'entourent… mais avant tout avec lui-même ! Le destin changera tour à tour la donne des cartes. Simple reflet de la vie ordinaire où à trop se pencher sur soi on risque de tomber.
Un roman d'amour. Mais d'un amour dramatique. Tenter de montrer jusqu'à quel sacrifice on est prêt lorsque l'on aime réellement quelqu'un.
Prix de vente : 15 euros
La dernière aube
Qui n'a pas rêvé un jour de refaire sa vie ? Il n'est pas question ici de changer de pays, de travail… de compagne ou de compagnon. Non ! Ces possibilités-là, l'existence les offre… de plus ou moins bon cœur. Elle peine en revanche à faire don de séances de rattrapage pour les meurtrissures de l'âme. Ces petits – ou grands – accrocs dans la ligne de conduite que l'on se fixe. Guillaume, lui va connaître cet insigne honneur… de manière tout à fait surprenante… et sans doute à contrecœur.
Surfant sur la vague des années 80 à 90, le récit, d'un réalisme poignant et mené comme une enquête par une suite de témoignages, guidera le lecteur jusqu'au coup de théâtre final. Jusqu'à cette vérité à laquelle chacun pourra adhérer… ou la dénier au gré de ses convictions.
Un roman axé sur le sentiment mais ouvert sur une question essentielle. Au lecteur de répondre...
Prix de vente : 15 euros
Décrochez la Lune... !
Brigitte se faisait une joie d'aller à Lyon assister au concert de Mister U.
Sans doute aurait-elle tempéré sa joie si elle avait su toute la série d'évènements qu'allait déclencher son cadeau de départ à la retraite.
Quand rien ne passe comme prévu…
Un roman particulier. Début, milieu, fin. Jusque-là rien que de très normal. Mais à intervalles irréguliers une anecdote consacrée à chacun des personnages vient modifier le regard du lecteur sur celui-ci. De fait, toute la trame du roman est à chaque fois visitée.
Prix de vente : 15 euros
L'Arénicole
Une maison de famille, une grand-mère farfelue, un grand-père dont on est sans nouvelles depuis très longtemps… et un testament surprenant. Celui-ci va contraindre deux membres de la famille à accomplir un périple éprouvant à travers l'Europe. De la Bretagne à l'Ukraine, ils remonteront un passé dont ils ignorent encore vers où ils les mène.
D'étape en étape, tout au long du trajet émaillé par les directives épistolaires d'une grand-mère prévoyante, Nicole et Benjamin vont apprendre à mieux se connaître, partagés entre le plaisir d'être ensemble et les affres liées au sens de leur démarche. D'innombrables péripéties les guettent au cours de leur longue avancée vers une vérité que leur grand-mère souhaitait leur révéler. A eux et à eux seuls.
Une belle histoire d'amour entre une grand-mère et son petit-fils. Une transmission inter générationnelle. Un roman au cours duquel les surprises ne manquent pas.
Prix de vente : 15 euros
Père dû
1977… À douze ans et quelques mois, Christophe pourrait être un enfant insouciant et heureux s'il n'était miné par une douloureuse interrogation.
Questionnement à tiroirs multiples. Qui est son père ? Où vit-il ? Que lui reproche-t-on… ?
Sa mère l'élève seule. Elle se refuse à aborder le sujet. Idem pour la grand-mère de Christophe… et tous les voisins auprès desquels il s'est renseigné.
Sans doute rongerait-il son frein si ne survenait un événement… somme toute banal. Mais un de ces battements d'aile de papillon susceptibles de déclencher les pires des tempêtes.
Mentant aux uns et aux autres, Christophe va se lancer sur la piste de son père.
Seul. Bien décidé à affronter la vérité.
Quelle qu'elle soit !
Prix de vente : 12 euros
La valse lente des corps
Un voyage initiatique entre un père et son fils après une série d'événements tragiques. Une confluence aussi de personnages issus d'horizons très différents. Un road-movie à un moment maritime. Le but étant que le lecteur soutienne le père dans sa démarche bien qu'il se soit pour cela mis hors-la-loi.
Prix de vente : 16 euros
Les jours à suivre
Corentin avait connu un début de vie pour le moins calamiteux. Disons pour faire simple que sa survie avait tenu du miracle… et de l’amour secret d’un homme pour sa boulangère.
Par chance, sa route cahotique avait croisé celle d’Anaëlle et Michel. Dans cette famille d’accueil, Corentin avait bâti sa jeune vie sur un rêve original : devenir Compagnon du Devoir. Deux mots pour lui synonymes d’une vie en partage et d’une existence au service de ce que sa naissance lui avait refusé.
Une route cahoteuse à suivre, remplie d’embûches. Surtout quand le destin jouait les fauteurs de troubles et qu’une question fondamentale revenait régulièrement hanter son esprit : Qui était-il ?
Prix de vente : 16 euros
Si je me souviens bien
L’enterrement d’une tante âgée, quoi de plus banal. Sauf… sauf si en voulant procéder à une réduction des corps, on s’aperçoit que la chose va s’avérer beaucoup plus compliquée que prévue. Un grain de sable vient gripper la machine. Et quel grain de sable !
Cet événement inattendu fait remonter à la surface de nombreuses interrogations que le temps avait laissées dans l’oubli. Ces questions remettent en doute la probité d’une famille, sa structure même.
François – Fanch’ pour les intimes de sa vie de marin-pêcheur breton – va se retrouver volontaire désigné d’office pour mener l’enquête. Il ne sera pas seul dans sa démarche. Deux membres de sa famille l’accompagnent… plus quelques fantômes dont la présence l’amènera à se pencher sur son passé, son présent… et son futur.
Ce roman constitue une suite pour l'Arénicole, écrit il y a une dizaine d'années. Les deux ouvrages peuvent néanmoins se lire séparément.
Prix de vente : 16 euros
Du côté du policier
Couper les ponts
Max avait tout prévu. Tout… à un bémol près.
La juteuse croisière nocturne devait se dérouler dans les meilleures conditions. Il était sûr de son équipage. La météo s'annonçait favorable. La pêche ne pouvait qu'être bonne. Exceptionnelle pour tout dire.
Les flics en resteraient babas !
Il avait juste oublié qu'à Sète rien ne se passe comme ailleurs. C'était pourtant pour cette même raison qu'il avait élu la ville pour théâtre des réjouissances.
Hélas, si chacun des comédiens s'était évertué à bien jouer son rôle, l'un d'entre eux avait mal appris son texte. Ce tout petit grain de sable allait vite prendre en grippe tous les jolis rouages sortis de l'imagination machiavélique de Max.
Un roman policier se déroulant à Sète... mais qui ne pourrait pas se dérouler ailleurs. L'île singulière décrite pas Paul Valéry y tient un rôle à part entière.
Prix de vente : 16 euros
À l'ancre rouge
La concorde avait régné sur le trentième Salon du Livre de Frontignan. Chacun était en droit de se réjouir. Le bonheur ne s'éternisa pourtant pas. Il s'enfuit même en toute hâte dès le premier assassinat.
Premier ? Oui… D'autres allaient suivre. Selon une étrange logique. Comme si quelqu'un s'attachait à remonter le fil du temps à sa manière.
Petit Poucet sanglant aux impénétrables desseins.
Les enquêteurs de la Crim' n'étaient pas à la fête. Domenica Suarès, la belle franco-brésilienne, en tête.
La samba virait à la danse macabre.
Un polar dans le milieu littéraire. Une bonne manière d'éliminer la concurrence. Pourquoi pas... ?
Prix de vente : 15 euros
Le petit bois des Mouriaux
Roujon-sur-Hérault, un gros village des hauts cantons héraultais, semble être un bourg très tranquille.
Pour ne pas dire somnolent.
Mais les apparences sont quelques fois trompeuses !
Paul y vient, pour la dernière fois de sa vie pense-t-il, attiré par la nostalgie. Par hasard, il va être témoin d'une scène dont il ne saura dans l'immédiat mesurer toute la portée.
Comment le pourrait-il au demeurant ?
Un à un, tous les personnages de ce roman vont prendre leur place, solistes prêts à jouer les mesures de leur partition. La symphonie attendue ne sera pas au rendez-vous, altérée par toute une série de couacs.
Le lecteur saura-t-il démêler le vrai du faux. ? Devinera-t-il toutes les turpitudes qui se trament derrière de tranquilles apparences ? Une seule chose est sûre : de tous les personnages, peu s'en sortiront indemnes !
Un roman policier destiné aux plus jeunes ou à ceux moins coutumiers de ce genre de lecture. Les bons sentiments y ont la part belle.
Prix de vente : 13 euros
En d'autres thermes
Un producteur de télévision… Un ancien flic devenu enquêteur privé… Une artiste de cirque… De sages jeunes femmes employées aux thermes de Balaruc…
Aucun lien a priori entre toutes ces personnes. Jusqu'au moment où ces mêmes jeunes femmes se mettent à disparaître les unes après les autres. Sans parler de ces colis au contenu étrange parvenant dans les locaux du SRPJ de Montpellier.
On a souvent l'impression de bien connaître ceux qui nous sont proches. Cette certitude battra en brèche après la lecture de cet ouvrage.
Bien malin qui saura démêler le vrai du faux…
Prix de vente : 16 euros
L'année des poissons aux treize lunes
Un polar dans l'univers de l'Histoire. Un jeune couple se rend acquéreur d'une maison au centre-ville d'Agde. Voulant changer le parquet très usé, il découvre un manuscrit abandonné là par le premier propriétaire de la maison. À la lecture, ils découvrent que ledit manuscrit relate une série de meurtres commis sous la Révolution Française. Assez étrangement, ils s'aperçoivent d'une certaine résonnance entre ce qu'ils lisent et leur propre vie, comme si c'était la maison qui les avait choisis et non l'inverse.
Prix de vente : 16 euros
Lâchez les chiens !
Une sortie scolaire. Quoi de plus banal ? Sauf lorsque l’un des enfants ne remonte pas dans le bus avec ses petits camarades. On le pense égaré. On envisage une fugue du bout des lèvres.
La chose s’avère autrement plus complexe lorsque malinois et berger allemand des maîtres-chiens de la police perdent la trace de l’enfant au milieu de la forêt.
Sa trace… et celle de celui qui visiblement l’accompagnait.
L’affaire se complique encore quand on apprend qu’une tension certaine régnait entre les parents de l’enfant. La Brigade Criminelle se met en chasse sous la personne d’un binôme des plus anachroniques. À ce point atypique que leurs collègues les ont surnommés la Belle et la Bête.
Tout hasard est un rendez-vous
La mer, ce matin-là, avait rejeté toutes sortes de choses, comme souvent lorsque le vent reste longtemps orienté au sud et que joue la musique de la houle.
Des millions et des millions de cadavres… plus un !
De quoi troubler Laurent Gamelin, un marin-pêcheur atypique, revendiquant haut et fort son statut hors normes. Quarante ans plus tôt, il avait connu une certaine heure de gloire grâce à la publication d'un ouvrage relatant un exploit marin de jeunesse.
Il ignorait pourtant, ce matin-là, en la voyant venir sur le ponton, que le passé revenait frapper à la porte.
Prix de vente : 16 euros
P
Les cris pour ces âmes
La saison touristique s’achevait sur le littoral héraultais. Pour le coup, cela tombait bien ! Car on découvrait de curieuses choses en mer. Des corps. Décapités ! Et la série se poursuivait à terre. De quoi mettre en tension la Brigade Criminelle.
D’autant qu’il ne s’agissait pas de morts banals. Les victimes étaient tous d’anciens membres d’un gang ayant sévi dans la région vingt ans plus tôt.
Vengeance tardive ? Nul ne pouvait le dire…
La Police Technique et Scientifique apportait son précieux concours. Mais l’enquête montait d’autant plus en tension qu’un vieil antagonisme opposait deux des enquêteurs. Les chiens étaient lâchés.
Qui pourrait les retenir ?
Une seule lettre vous manque...
Ludovic Guérin, capitaine de police à la PTS du SRPJ de Montpellier avait cru bien faire en se dévouant pour se rendre à la morgue. Des corps à identifier, il en avait vu défiler quelques-uns au cours de sa carrière. Il ignorait que cette louable démarche allait réveiller ses vieux démons… à peine assoupis. La morte, une jeune Lituanienne d’une éblouissante beauté, ne présentait aucun signe létal. Du moins en apparence.
Parce qu’en y regardant de plus près…
Pour compliquer un peu plus les choses, elle appartenait à une toute petite caste au monde.
Seulement une cinquantaine de personnes.
Découvrir l’affolante raison pour laquelle on l’avait tuée ne serait pas chose facile…
Prix de vente : 16 euros
OMMISSIONS
S’il avait su la galère dans laquelle le conduirait une simple démarche motivée par la curiosité… mais pas que, Antoine Rivoire ne se serait pas rendu à l’expo de peinture d’Elvire Caulerpa. Comment cependant demeurer sourd à l’appel du passé, aux sirènes de la jeunesse enfuie ? Surtout lorsque l’on songe qu’au grand cahier de l’existence il reste peut-être quelques belles pages à noiricir.
Et pour s’en noircir, il allait s’en noircir quelques-unes !
Des personnalités politiques de premier plan en feraient les frais. Antoine Rivoire menait l’enquête. Pas seul. Quoiqu’à bien y regarder… Les trajectoires croisées entre ses investigations et sa propre vie l’amèneraient au bord de l’abîme. Aurait-il la force de résister au vertige ?
Prix de vente : 16 euros
Éric GOHIER
On achève bien les poulets
Thriller
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Si la littérature avait été sa passion, c’est cette réflexion que se serait fait Albin en constatant la disparition de son capitaine de police. Un détail en particulier n’incitait pas à l’optimisme : une large tache de sang répandue dans l’entrée. Point de depart inquiétant d’une enquête au cours de laquelle vraies pistes et faux-semblants allaient jeter le trouble au sein de l’équipe de la Brigade Criminelle lancée à la recherche de son chef de groupe.
Quel événement du passé avait déclenché cette colère ?
C’est ce que tous les membres de la brigade allaient tenter de découvrir. Inutile de dire qu’ils ne devraient pas plaindre leur peine. Quelques surprises veillaient sur la route de la vérité.
Ce vingt-et-unième roman aborde un sujet grave. Quelques affaires ont récemment révélé tous les dangers encourus à fréquenter ceux nantis de pouvoir. Avant tout si ceux qui le détiennent en abusent pour servir leurs noirs desseins. Les souffrances vécues par les âmes tracassées des victimes sont ici abordées avec toute la compassion de l’auteur, sans verser dans le pathos. Il offre ainsi une piste de réflexion sur un sujet brûlant dont le moins qu’on puisse dire est qu’il est longtemps demeuré sous le pesant éteignoir de l’immoralité.
ISBN : 0791092075175
Prix de vente : 16 euros
FONT-MALSANA
Dix personnes recluses dans une ancienne magnanerie des Cévennes transformée en maison d’hôtes. Rien de dramatique en soi. Elles ne manquent de rien… si ce n’est de sérénité. À l’extérieur, sévit en effet une tempête d’une intensité telle que les experts météorologiques n’ont pas hésité à la qualifier de tempête du siècle.
L’affronter ne semblerait pas insurmontable si un homme coupable de cinq meurtres ne s’était trois jours plus tôt échappé d’un hôpital psychiatrique, si les gendarmes n’étaient venus le matin-même constater un suicide par arme à feu… et si la présence de quelques-unes des personnes accueillies ne paraissait pour le moins surprenante.
Par chance, un ancien flic de la Brigade Criminelle rôde par-là.
Dernier ouvrage en date. Un thriller inquiétant mettant en scène des conditions climatiques extrêmes.
Prix de vente : 16 euros
Dernier polar en date (sortie février 2024) : Meurtrière ballade
De mystérieux meurtres mettent en émoi les hommes du SRPJ de Montpellier, renforcés par la présence d'une lieutenant de police venue du Bastion, à Paris. Peu à peu, les soupçons se portent sur une personne en particulier. Les apparences toutefois ne sont-elles pas trompeuses ?
Prix de vente : 16 euros
EN TROMPE-L’ŒIL
Roman noir
Un jour, un été, est le long métrage qui a définitivement consacré Thierry Fenneck. Un cinéaste aussi fréquemment encensé qu’il est vilipendé, fils naturel de la nouvelle vague, aux dires des journalistes spécialisés. Mais un jour, un été, son passé le rattrape de manière inattendue.
Le cinéaste va alors tout mettre en œuvre pour remporter cette course contre la montre qui menace de le mener à sa perte et de ruiner ainsi sa carrière d’artiste. Pour ce faire, il élabore un scénario digne de Machiavel.
Pas certain néanmoins que cette fois il décroche la Palme.
Ce roman, le vingt-quatrième de l’auteur, connu dans le monde de la nouvelle pour avoir entre autres remporté le prix Albertine Sarrazin, relate ici des événements que ne désavoueront pas les adorateurs du septième art. Faux-semblants, coups de théâtre, vérités en trompe-l’œil sont au rendez-vous. Jusqu’au dénouement pour le moins imprévu.
Prix de vente : 16 euros
Du côté des nouvelles
Des primées... mais plutôt fier de l'avoir été Vol 1,2,3, 4, 5 et 6
Dans un monde parfait, personne ne perdrait son identité, chacun prendrait le temps de parler avec l'autre et les parallèles finiraient par se croiser.
Ces douze nouvelles, florilège des textes ayant obtenu le 1er Prix dans différents concours, tant en France qu'à l'étranger ne pourraient survivre dans un tel univers.
Chaque histoire est un voyage, plus ou moins long, dont on ne sort jamais indemne. Chaque récit est avant tout une exploration au cœur de l'âme humaine.
Vaste programme... !
À force de participer aux concours de nouvelles, j'ai connu la chance d'être de nombreuses fois primé.Suffisamment pour concocter ces trois recueils dont les textes ont pour trait commun d'avoir plu aux lecteurs des différents jurys.
Prix de vente : 15 euros
Les amours perdues & Les amours retrouvées
Une de perdue… dix de retrouvées…
Les mathématiques populaires ne s'embarrassent pas de fioritures pour résoudre les équations du cœur. Il serait appréciable que cela soit aussi simple dans la vraie vie.
Mais rien ne vient sans peine… de cœur !
Deux recueils de nouvelles complémentaires. Il y a tant à dire sur l'amour !
Prix de vente : 15 euros
L'amer sans arrêt roulait ses galets
J'ai longtemps hésité pour le titre. Galets ou gars laids ? Au final, j'ai opté pour la première solution car dans ces seize récits qui possèdent tous la mer pour cadre commun la turpitude ne constitue pas un apanage essentiellement masculin.
Au gré des vents, au hasard des courants, le lecteur découvrira la face cachée de certaines choses, quelques vérités sur un domaine dont on en ignore bien plus que l'on en sait… un peu comme la nature humaine.
Avant tout cependant, il accompagnera quelques femmes et quelques hommes arpentant la route de leur destin. Un devenir conté sur un ton tour à tour drôle, dramatique, cruel, joyeux, critique, compatissant…
N'hésitez pas, embarquez… on finit toujours par rentrer à quai !
J'ai été marin-pêcheur durant 20 ans. Cela laisse des traces. VDH, le grand navigateur a eu la gentillesse de me préfacer l'ouvrage.
Prix de vente : 15 euros
La biche et les grands cerfs et autres démêlés policiers
Rien ne prédisposait Cassandre à user ses escarpins en rase campagne. Mais comment aurait-elle pu deviner que tant d'hommes, sans le vouloir, se soient ligués pour lui pourrir l'existence ?
Cette longue nouvelle constitue la colonne vertébrale du dernier recueil de l'auteur de Couper les ponts. Pour l'occasion, celui-ci fait une intrusion très remarquée dans le domaine de l'humour.
Huit autres récits accompagnent ce texte. Leurs héros sont détectives privés, gendarmes ou policiers. Tous sont en quête de vérité.
Le lecteur est chaleureusement invité à les suivre dans leurs traques. Peut-être se montrera-t-il assez perspicace pour découvrir avant eux le nœud de l'intrigue ! Qui sait ?
Un recueil de nouvelles policières.
Prix de vente : 15 euros
Les péchés capitaux
On a tous entendu parler des péchés véniels et des péchés mortels. Plus rares cependant seraient ceux capables de citer les sept péchés capitaux. Ceux que l’on prétend à l’origine de tous les autres. Ne boudons pas notre plaisir et découvrons-les ensemble.
L’Orgueil, l’Avarice, la Luxure, l’Envie, la Gourmandise, la Colère et l’Acédie. Nul doute que le dernier péché cité interpelle.
Disons qu’on le réduit en général à la Paresse. Rien à voir cependant avec celle qui nous donne envie de traîner au lit. Il s’agit de l’expression du désintérêt pour la chose divine.
L’auteur s’est ici attaché à illustrer chaque péché par un texte et un personnage. Le lecteur découvrira qu’un péché bien cultivé peut effectivement donner vie à de nombreux autres.
De là à s’en émerveiller...
Prix : 15 euros
Salopes, enfoirés et autres ordures...
Drôle de titre… Accordé. Pourtant, à la lecture des douze textes qui composent ce recueil, il semble d’une telle évidence qu’il aurait été ridicule de céder aux sirènes du politiquement correct.
Pas vraiment le style de l’auteur d’ailleurs.
Même s’il invite parfois le lecteur à voter les circonstances atténuantes aux protagonistes.
Titre décapant donc. Mais justifié. Parce que des êtres dénués de tout scrupule, il en rôde quelques-uns au travers de ces pages. Des femmes, des hommes. Des jeunes, des vieux. Des en toute conscience. Des malgré eux. Des à cause de. Des parce que. Des c’est pas nous.
Car toutes et tous ces cumulards de défauts avancent une bonne excuse à leur abject comportement. On peine cependant à leur emboîter le pas. On trainerait même la patte.
Le lecteur pourra en juger par lui-même…
Prix : 15 euros
Du côté de la poésie
Quelques mots sauvages apprivoisés le temps d'un bref espoir
La poésie est un genre littéraire devant lequel ne s'extasient que ceux aptes à voir de l'autre côté du miroir. Cette face où les reflets et les couleurs prennent une patine différente.
L'œil y découvre des traits insoupçonnés, des paysages sublimés, des caractères plus imaginaires que concrets. Elle est à l'écriture ce que pourrait être la peinture à la photographie : un monde impénétrable pour celui qui n'y adhère.
Elle tient bien sûr pour un art difficile dans lequel la bascule entre sublime et ridicule ne tient qu'à un fil. Le fil long et ténu d'une soie arachnéenne patiemment tissée par une araignée besogneuse.
On entre en poésie de la même manière, fortuite et intuitive, qu'on entre en religion. Non par goût ou désir mais sous le coup d'une impérieuse nécessité.
Un recueil de poèmes. Classiques pour la plupart. Parce que quand même, les alexandrins...
Prix de vente : 12 euros
Du côté des enfants
Les contes de la pleine Lune
La Lune, cet astre parfois timide, parfois triomphant, est source d'inspiration. Il est ici proposé un recueil de quatre contes pour petits et grands au coeur desquels la lune en pleine forme tient le rôle principal; Il est joliment illustré par Michel ROMAN dont la qualité des dessins n'est plus à louer.
Quatre contes composent ce recueil :
- Séraphin et le lapin de Lune
- Les belles nuits du Père Doudou
- La Lune et le loups
- La forêt de Thoutalanver
Prix de vente : 10 euros
Fleur de Lune et le chien de maître Dhang
Jamais personne ne se risque à pénétrer au cœur du Territoire Interdit. Les adultes interdisent même aux enfants de seulement s’en approcher. Cette mise en garde est presque superflue tant la réputation du Territoire Interdit fait naître la peur.
Ce jour-là pourtant, Fleur de Lune va braver l’interdit. Non pas par désobéissance. Mais à cause de deux petites souris. Celles-ci, affamées, ont rongé la laisse du chien de Maître Dhang…
La traversée du Territoire Interdit sera l’occasion de rencontres aussi étonnantes qu’impressionnantes. À la poursuite du chien, Fleur de Lune s’alliera à un renard, à une belette, à un loup… et apprendra à pactiser avec tous les animaux peuplant cet univers ensorcelé.
Réussira-t-elle à triompher de toutes ces épreuves ? Évitera-t-elle la colère de Maître Dhang ? Quelle merveilleuse surprise l’attend au cœur de la forêt ?
Tout cela reste à découvrir…
Lecture conseillée aux enfants de 9 à 12 ans.
Prix : 12 euros
Dan
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Et pourquoi pas !!!
- Le 02/01/2010
- Dans blog lecture et écriture
Un petit billet très bref pour saluer l'an neuf. Et une idée pour passer toute l'année au vert : la lecture. La preuve ? On dit que c'est en forgeant que l'on devient forgeron et bien de la même manière en lisant on devient liseron!!!
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Un brin de philosophie pour occire l'année en douceur
- Le 31/12/2009
- Dans blog lecture et écriture
Depuis qu'un certain débat agite les microcosmes politiques de deux galaxies se voulant représentatives, revient sans trêve la sempiternelle déclaration des droits de l'homme et du citoyen dont notre pays se gargarise à s'en faire exploser les amygdales. Afin de rafraîchir ma mémoire, parfois claudiquante, je me suis décidé à une relecture dudit texte. Je vous rassure tout de suite, je n'ai pas franchi le cap du premier article. Comment vouer crédit à un texte dont la base numéro un repose sur des sables mouvants ?
"Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits". Ben voyons ! Fils d'ouvrier, fils de notaire ? Pareil ! Fille de paysan, fille de P.D.G. ? Idem ! Bien basané, pâle de peau ? La même chose ! Pauvre/riche, grand/petit, intelligent/demeuré, laid/beau, rural/urbain ? Tous égaux ! A preuve, au fronton des édifices civils cette maxime dont nous sommes si fiers : Liberté, Egalité, Fraternité. Il me semble nécessaire de disséquer le mot en sandwich dont la révocation, à mon humble avis, permettrait aux deux autres de retrouver la plénitude souhaitable de leur sens.
L'égalité de naissance est un concept tellement improbable que l'on peut le dessiner comme une utopie. Qu'existe-t-il dans la Nature qui soit d'emblée égal à ses semblables ? Chaque couvée, chaque portée, présente son lot de faibles et de forts. C'est ainsi, ni juste, ni injuste. Naturel. L'homme fait partie intégrante de la nature et subit cette loi immuable. A cette différence près qu'il sait et peut ( s'il le désire ) niveler les inégalités inhérentes aux aléas de la naissance. Cette faculté a un nom : l'équité. Ce petit mot magique permet de raboter ce qui est en trop et de rajouter là où il y a défaut. Non dans le but que les hommes d'où qu'ils soient deviennent égaux mais juste pour qu'on les traite de telle manière que les disparités initiales dont ils ne sont responsables deviennent caduques.
Et puisque nous aimons montrer l'exemple, mon voeu le plus cher serait que l'on revisite ce slogan fer de lance d'une nation libertaire afin que nous nous enorgueillissions de cette maxime : Liberté, Equité, Fraternité.
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Des livres et nous... du mal!
- Le 29/12/2009
- Dans blog lecture et écriture
Un petit plagiat d'un titre phare de Romain Sardou (bon bouquin soit dit en passant) pour un plaidoyer pour la lecture en cette saison où les jours plutôt gris basculent très vite de l'aube à la nuit. Quelle meilleure distraction, pour qui s'en réjouit, que celle de la lecture. Du ciel sous bâche ? Un petit roman africain à l'ombre des banians ou sud-américain dans la pampa argentine ! Quelques bleus à l'âme ? Un livre recelant l'humour nécessaire à la guérison (l'embarras du choix est tel qu'un conseil est superflu) ! Besoin d'amour ? Tous les ouvrages hissant ce sentiment à toutes les cîmes du possible en empruntant tant de chemins différents qu'il semble improbable qu'il n'en existe pas au moins un pour chacun ! La hantise du temps qui passe ? La philosophie sous toutes ses formes, qu'elle soit laïque ou religieuse, transformera cette crainte en remettant à leur juste place ces vilains démons mortifères qui hantent parfois nos pensées !
La lecture est un hâvre où chaque sentiment peut se reposer, une source à laquelle tous les tracas peuvent s'abreuver. Le temps d'un livre on part si loin, si bien, si fort, que les valises qui encombrent parfois nos existences avec leur triste pragmatisme restent sur le quai de la gare d'embarquement, trop pesantes pour voler avec nous. A tel point que parfois, lasses de nous attendre, certaines se dégonflent incapables de résister au mépris avec lequel on les a traitées le temps d'une lecture. Il faut dire que les héros de certains ouvrages ont des tracas tellement plus douloureux que les nôtres que l'on ne se sent plus le droit de s'appitoyer sur soi-même au retour du voyage.
Délivrons-nous du mal en nous soignant donc d'une manière naturelle et festive : la lecture. Le traitement ne coûte rien... ou presque. Que le trajet jusqu'à la plus proche médiathèque.
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Piège nuptial
- Le 27/12/2009
- Dans blog lecture et écriture
Pas de gorges chaudes ni de scoops révélateurs. Il ne s'agit là que du titre d'un livre de Douglas Kennedy initialement paru sous le titre "Cul-de-sac". Cadeau de Noël. Ceux qui me connaissent savent bien que m'offrir, allez ! Un bouquin, ou deux, et voilà ! Pas à se creuser la tête, ils savent que cela me fera plaisir... d'autant plus s'il s'agit d'un bon livre. C'est en l'occurence le cas , suspens, humour, originalité. Avec toutefois un bémol, en ce qui me concerne uniquement : le style, et dans un moindre degré le genre. J'ignore si l'ouvrage a été édité chez Gallimard (série noire) lors de sa sortie première mais il l'aurait mérité dans tous les cas. Et c'est là que le bât blesse dans mon cas.
Je crois que j'ai abusé de ce genre dans ma folle jeunesse et qu'un sentiment de déjà lu s'impose tout naturellement. Cela, je l'avoue, me gâche un peu le plaisir de la lecture. Et, sans vouloir me montrer doctoral, ce n'est pas le genre de la maison, je ne saurais que trop conseiller à ceux qui aiment lire de s'investir dans toutes sortes de genre et de jongler de l'un à l'autre et d'un ouvrage au suivant afin de ne pas amener le curseur à son paroxysme dans un genre littéraire bien établi. Cette remarque n'a d'autre but que d'inciter chacun et chacune à ne pas chercher à tout prix à dévorer un auteur que l'on découvre de A à Z sans se ménager des pauses, assez longues si l'on s'en sent le courage, car la même mélodie interprétée sur différents tempos finit toujours par un peu lasser. Il est déjà tellement difficile pour un écrivain de trouver son style que l'on ne peut imaginer que celui-ci soit variable et intéressant à l'infini d'un ouvrage à l'autre.
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Deux mille.... ?!
- Le 26/12/2009
Je me dois d'avouer que je suis surpris par la réactivité des visiteurs de ce site. Celui-ci n'existe que depuis le 09/12/2009, avant cette date je n'étais pas certain qu'il soit référencé donc je n'y oeuvrais point, et voilà qu'une quinzaine de jours plus tard la barre des deux mille pages consultées pourrait être franchie aujourd'hui. Je suis bien sûr très agréablement surpris par cette activité à laquelle je prêtais peu foi au départ.
Je profite donc de ce début de matinée de fêtes de fin d'années où d'autres activités réclament ma présence pour remercier tous ceux qui sont déjà venus visiter ce site et tous ceux qui y viendront par la suite. Cette présence m'est précieuse et ne peut que m'encourager à continuer. Pas d'écrire, je gère ça très bien tout seul, mais à venir alimenter ce site en textes car j'ai la chance de posséder un stock conséquent... avantage de l'âge... mouais bof !
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De l'importance des mathématiques dans le traitement des blessures du coeur
- Le 23/12/2009
- Dans blog lecture et écriture
Au commencement il n'y avait rien. Affaire à suivre ! Puis vint l'homme. Qui, après quelques milliers d'années, installa ses troupeaux en ville. Pour les gérer, il inventa la politique afin de mieux orchestrer le chaos. Entretemps, les lois avaient vu le jour, le savoir avait crû de siècle en siècle et avec lui les mathématiques et la philosophie. Ces deux matières étaient indissociables et leur enseignement se prodiguait en commun.
Au jour d'aujourd'hui, l'interpénétration de ces deux disciplines a pratiquement disparu, et certainement pas par le plus grand des hasards. Exit Platon, Euclide, Pascal, Newton, Descartes et tant d'autres. On traite désormais les problèmes économiques sans tenir compte de la philosophie et l'on n'intègre pas les mathématiques pour le mieux-être de l'humain. Pourtant, afin qu'un problème soit traité de manière juste et sereine, ne serait-il pas judicieux de poser les bases initiales de son étude, d'établir toutes les vérités à son propos en se référant au précepte des trois passoires de Socrate quant à la Vérité ? Quelle est cette vérité ? D'où vient-elle ? A-t-elle une quelconque utilité ?
Tout problème de société, qu'il soit économique ou social, se doit d'être étudié dans le respect des deux sciences qui sont à même de le régir. Comment résoudre un problème dont les données seraient erronées et comment mettre en pratique une théorie fallacieuse ? Seul le point d'équilibre entre ces deux points de vue permet d'élaborer un dispositif à la fois juste et usuel à tout problème d'ordre humain qui se pose. Peut-être alors commencera-t-on à se poser la vraie question : vaut-il mieux vivre pour exister ou exister pour vivre. Ce qui recentre la question du travail vers des valeurs de respect et de répartition plus juste des richesses produites tout en limitant les besoins à ce que réclame le nécessaire vital.
Et comme ce blog est par essence consacré à la lecture, je ne saurais trop vous recommander la lecture du roman de Denis Guedj : "Le théorème du perroquet" qui aborde ce sujet d'une manière autrement plus brillante que l'ébauche que je vous ai livrée ci-dessus. Je vous concède que la lecture de cet ouvrage ne peut prendre tout son sens que si l'on possède des notions mathématiques un peu poussées.
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Lecture et bonne santé
- Le 21/12/2009
- Dans blog lecture et écriture
D'après une étude scientifique réalisée par mes soins auprès d'un échantillon représentatif de une personne (sic), je suis arrivé à la conclusion que lire peut permettre à l'homme de demeurer en bonne santé. Il suffit pour cela qu'il dispose d'une bonne vue, d'une loupe et d'un fascicule vulgarisateur. Que doit-il lire? La liste des ingrédients que contiennent tous les produits alimentaires qu'il achète. C'est pour cette raison qu'il doit posséder un bonne vue afin de repérer sur l'emballage cette mention obligatoire... rédigée en français! La loupe lui sert alors à parvenir à déchiffrer les caractères écrits si petits qu'on a l'impression que les mots se touchent. Le petit manuel lui est dès cet instant utile pour comprendre ce qu'il lit. Car les agro-industriels sont malins (nous n'en doutions pas une seconde !) et s'ingénient depuis quelques années à remplacer la série terrible des E (de 100 à 980) par leur traduction en lettres. Ce n'est pas par pur souci de vérité. Que nous importe d'ailleurs que le E 225 soit le sulfite de potassium ou le E 472a l'ester diacétyl-acétique d'acides gras ! A moins d'avoir usé nos fonds de culotte pendant des années sur les bancs de la faculté de chimie cela ne nous parle pas. Mais nous perturbe car nous avions appris à nous méfier de ces rafales de E qui se font concurrence sur les emballages.
Et c'est là qu'intervient le petit fascicule et la propension de l'homme a utilisé la lecture afin de se maintenir en bonne santé. Car tous les additifs alimentaires ne sont pas à mettre à la poubelle (quoique !) certains sont innofensifs mais d'autres sont redoutables voire cancerigènes ou cancerogènes ( la différence n'est pas subtile). En utilisant un guide du type du mien (Les additifs alimentaires. Corinne Gouget) on peut laisser sur les rayons les produits en charge de nous empoisonner et prendre ceux dont les concepteurs ont eu à coeur (ou à porte-monnaie) de privilégier des ingrédients sains. Car il ne faut pas se faire d'illusions, si nous ne forçons pas les agro-industriels à réviser leurs cons positions (jeu de mots) ils peineront à le faire d'eux-mêmes.
Je vous accorde que la lecture et l'étude pendant la rude épreuve des courses ne fait pas gagner de temps mais un peu de saine lecture vaut bien qu'on y sacrifie quelques minutes surtout si au final on gagne quelques années de vie... en faisant travailler des producteurs à visage humain plutôt que l'industrie chimique.
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De l'importance de la lecture dans le traitement du climat
- Le 19/12/2009
- Dans blog lecture et écriture
J'ai récemment découvert l'existence d'un géophysicien de renom : Vincent Courtillot par le biais d'une émission radiophonique ( Parlons.net ). Cet homme a étudié pendant trois ans l'incidence de l'homme sur le réchauffement climatique. Ce qu'il en pense et ce qu'il jugerait préférable de faire, je vous laisse libres de le découvrir et de vous faire votre propre opinion sur ce qui agite l'actualité depuis quelques semaines et continuera sans doute à le faire durant encore quelques mois. Je n'ai de toute façon aucune compétence intellectuelle dans le domaine qui est le sien pour infirmer ou dénier ce qu'il présente d'ailleurs comme sa vérité car cet homme s'avère de toute évidence soucieux de tolérance et ouvert à tous les septicismes. Je précise là que titulaire d'une chaire, il a enseigné tout ce que valide le GIEC avant d'avoir étudié de plus près de quoi il ressort. Je m'avoue toutefois dubitatif depuis l'avoir entendu s'interroger sur les chemins que souhaitent nous faire prendre nos dirigeants et me demande si les priorités qu'il annonce plus urgentes ne sont pas les vraies.
Tout ce doute est en fait né, outre le calme et la clarté de son discours, de ses explications quant à la constitution du GIEC (Groupement d'Experts International sur l'Evolution du Climat ) et le tour de passe-passe établi après que celui-ci ait rendu son rapport. Au départ, un rapport de plus de mille pages synthétisant les rapports, études, expertises et conclusions, sanctionnant de longs mois d'étude. A l'intérieur de ces mille pages, un nombre important d'annotations d'experts exprimant leurs doutes. MIlle pages, c'est long à lire. Le GIEC a donc résumé sa pensée en un recueil de cinquante pages destiné aux scientifiques. Puis dans un fascicule d'une trentaine de pages dévolu aux conseillers politiques des dirigeants du monde. Dans ces deux synthèses ,tous les avis à contrario ont disparu et seule subsiste une ligne unique de pensée révélant l'unanimité des experts réunis. De surcroît, le rapport de mille pages n'a pu devenir accessible aux responsables politiques qu'après qu'ils aient ratifié et approuvé le fascicule de trente pages. Curieuse manière d'informer et étrange chronologie pour ce que l'on aimerait de la rigueur scientifique. De là à conclure à un complot dévolu à des visées financières, il y a un fossé monstrueux que je ne me risquerai pas à franchir par manque d'informations précises.
Une chose m'apparaît en revanche indéniable et inquiétante c'est qu'une lecture doit être complète avant de valider un texte. Et que le résumé dudit texte n'a pas droit de citer s'il omet sciemment tout ou partie de ce qui compose le texte initial. Comment saurait-on avoir un avis sur un sujet dont on ne serait informé qu'à demi ? D'autant qu'en général ce qui est omis est ce qui dérange les rédacteurs. La pensée unique est un drame dont il faut se défier à défaut de quoi la lobotomisation latente par un traitement larvé de l'information deviendra une norme dont on peinera à s'extirper. Je doute que les peuples, au sens vulgarisé du terme, en sortent grandis.
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Le prix des prix !!!
- Le 18/12/2009
- Dans blog lecture et écriture
Mes premières satisfactions intellectuelles d'écrivain, je biffe le cercle familial trop poli pour qu'on le croit honnête, sont arrivées par la poste sous forme de récompense plus ou moins importantes, financières parfois, à l'issue de la proclamation du palmarès de concours littéraires auxquels j'avais participé. Je voudrais par le biais de ce post pousser un petit cri de colère, Aaaaah!!!, c'est fait, contre les pratiques qui se font désormais courantes comme la monnaie du même nom. Les frais de participation à ces concours sont de plus en plus élevés et je m'interroge sur la validité de ces pratiques. Que les clubs ou associations diverses et variées aient besoin de quelques subsides afin d'exister, je ne le nie pas, que les municipalités, départements et régions, sollicités de toutes parts et abandonnés par l'Etat, manquent de fonds à distribuer sans compter, je ne le nie pas non plus mais alors que les frais de participation se montrent au moins à la hauteur des prix que l'on propose aux auteurs. Déjà qu'en règle générale on leur demande d'abandonner leurs droits pour la publication dans la revue mensuelle de Saint Machin du trucmuche ! Il existe de moins en moins de corrélation entre les frais de participation et le lot promis au vainqueur. Ce n'était pas glorieux il y a quelques années mais ce n'est pas en voie de guérison. Alors, si vous désirez participer à des concours de ce genre n'ommettez pas de préciser au moteur de recherche dont vous vous servez : gratuit... ou modique mais je ne suis pas sûr qu'il comprenne le sens de ce mot.
Regardez aussi qui compose le jury. Souvent des écrivains. Au moins trois quelques fois. Très connus par leur boulangère ou le charcutier du village. Ne vous risquez pas à être désavoués par des gens qui pourraient n'être intéressés que par l'argent. Mais chut !!! Il ne faut pas dire des choses comme ça, ce n'est pas gentil. Quelle importance ! Vous croyez qu'ils sont gentils les critiques littéraires ? Parce que les faux écrivains sont des critiques en puissance. Mais il s'agit d'un tout un autre sujet ! C'est vrai ! Déjà traité d'ailleurs. Mais c'est bon de remettre une petite couche de temps en temps parce que des bêtises, on en trouve ailleurs qu'à Cambrai !
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Histoire et géographie
- Le 17/12/2009
Un nouveau séisme médiatico-politique secoue le landerneau éducatif. Voilà que l'on voudrait réformer l'apprentissage de l'histoire et de la géographie dans les classes de terminale scientifique. Plus d'heures en première et le bac à la fin de cette année, les deux matières devenant optionnelles en terminale. Branle-bas de combat immédiat du corps enseignant relayé par la classe politique. Comme on le comprend bien, tempsque l'on débat de ça on ne se fâche pas du reste.
Deux pensées me viennent à l'esprit. Si l'on juge que les jeunes dès dix-huit ans possèdent assez de maturité, ce dont je ne doute pas, pour glisser un bulletin dans une urne, est-il si insensé d'admettre qu'ils disposeront d'une identique dose de maturité afin de savoir si cet enseignement optionnel les intéresse ou pas ? Ensuite, et c'est sans doute le recul de l'âge qui me permet de dire ça, que reste-t-il de l'enseignement scolaire de ces deux matières lorsque les années se sont enfuies? Peu, non ? De plus, 'histoire policée et vernie que l'on nous sert à l'école est-elle digne de foi et suffisamment soucieuse de la vérité, toute la vérité, rien que la vérité? Les enseignants eux-mêmes ont-ils suffisamment foi dans les vérités qu'cn leur enjoint de vendre comme telles ? Je n'aborderai pour mémoire que les gloires napoléoniennes, les "évènements" d'Algérie qui ressemblaient quand même beaucoup à une guerre, les rois successifs tyrans de droit divin affamant leurs peuples que l'on glorifie à tout bout de page...
De même, la géographie évolue très vite, et son côté géopolitique encore plus, que les évidences de mes vingt ans se sont abattues dans diverses parties du monde au même titre que le mur de Berlin en 1989.Les rêves idéologiques se sont heurtés aux pratiques de dirigeants moins vertueux que ce qu'en espéraient ceux qui avaient lutté pour les conduire à leur tête.
Ne subsiste à mon sens qu'une seule pratique judicieuse de pénétrer du mieux possible la vérité de ces matières : lire. Tout et n'importe quoi. Des romans, des essais, des bandes dessinées s'il le faut. Chaque écrit est un témoignage sur son temps et le lieu de vie de l'auteur et si aucun ne détient la Vérité tous ces témoignages cumulés et synthétisés risquent de s'en rapprocher beaucoup mieux que tout ce que l'on pourra assimiler dans un cycle scolaire que ce soit dans un cadre obligatoire ou semi-optionnel.
Cela n'empêche que si les lycéens veulent soutenir leurs professeurs, ce en quoi ils n'auraient pas tort, pourquoi ne s'inscriraient-ils pas en masse dans ces cours devenus optionnels ? Dès lors peut-être que ce cadre moins rigide permettrait de réels échanges d'idées entre enseignants et élèves.
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Date de dernière mise à jour : 08/12/2024